Abidjan, le 3 juillet 2025 – Grande première en Afrique, le Congrès mondial du Transhumanisme qui en est à sa 18 e édition se tiendra en Côte d’Ivoire, les 27 et 28 novembre 2025, à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody, à Abidjan.
Cet événement international de haut niveau, placé sous le thème « Transhumanisme et développement de l’Afrique », est organisé par la Société Ivoirienne de Transhumanisme (SIVOT), en partenariat avec l’Association Française Transhumaniste (AFT-Technoprog), l’Institut Africain de Bioéthique, et la structure internationale Humanity+, l’un des principaux acteurs mondiaux de la pensée transhumaniste.
Le congrès réunira à Abidjan plus de 40 experts de renommée internationale, venus de 20 pays d’Afrique, d’Europe, d’Asie et d’Amérique, pour débattre des grands enjeux liés à l’intelligence artificielle, aux biotechnologies, à l’éthique numérique, à la santé augmentée et à l’avenir de l’humain en rapport avec le developpement de l’Afrique.
Parmi les intervenants attendus figurent notamment :
- Natasha Vita‑More, Presidente Emerite de Humanity+ (anciennement World Transhumanist Association)
- Marc Roux, président de l’AFT-Technoprog (France)
- Laurent Alexandre, chirurgien et entrepreneur français, expert en IA et santé
- Jean-Marc Besnier, philosophe français, spécialiste de l’éthique des technologies
- Ebenezer Njoh Mouelle, philosophe camerounais, référence du transhumanisme africain
- Stefano Vaj, président de l’Association Transhumaniste Italienne
- José Luis Cordeiro, ingénieur et futurologue vénézuélo-espagnol
- Didier Coeurnelle, militant belge des droits humains dans le transhumanisme
- Ben Goertzel, pionnier mondial de l’intelligence artificielle
- Lincoln Cannon, technologue, philosophe et figure majeure du transhumanisme religieux
- Carl Youngblood, président et cofondateur de l’Association Transhumaniste Mormonne
- Ojochogwu Abdul, futuriste afropolitain et fondateur de Transhumanist Africa
Ce congrès constitue une étape historique pour le continent africain, de fait, invité à passer du rôle de spectateur à celui d’acteur des mutations technologiques mondiales. Il ouvrira un espace de réflexion et de prospective sur les opportunités offertes par les technologies émergentes pour le développement humain, économique et institutionnel de l’Afrique.